Image default

Pourquoi être POSITIF aide à guérir de la BOULIMIE ?

Vous n’en pouvez plus de vos crises de boulimie, de votre vie, de toutes ces souffrances que vous vivez au quotidien? Le problème, quand vous pensez cela, est que vous aurez du mal à guérir. Etre négatif ne fait qu’enfoncer le couteau dans la plaie. Je vous explique, dans cet article, pourquoi et comment il vaut mieux être positif pour guérir de la boulimie.

Pourquoi être négatif ne vous aide pas à guérir de la boulimie ?

Avez-vous déjà vu une personne vraiment heureuse dans sa vie, ou qui a réussi à faire des choses incroyable, passer son temps à voir le côté négatif des choses et à se plaindre? Si vous en connaissez, faites-moi signe.

Je ne dis pas que vous passez tous votre temps à vous plaindre ou à ruminer votre malheur. Pour certains oui, j’espère que vous prendrez conscience de cela avec cet article. D’autres parmi vous sont souvent positifs mais ont parfois des moments où ils voient tout en noir, surtout après des crises de boulimie.

Je ne dis pas non plus que vous n’avez aucune raison de vous plaindre, que vous n’avez aucune souffrance. En réalité, même la personne la plus heureuse du monde vit des moments très difficiles, et probablement autant que vous ou presque. Mais qu’est-ce qui fait que cette personne est heureuse et d’autres non? Tout simplement parce qu’elle voit ces difficultés de façon positive alors que d’autres personnes vont voir les mêmes situation de façon négative.

Plus vous verrez les choses de façon négative dans votre vie, moins vous allez réussir à guérir de la boulimie. Pourquoi? Et bien parce que, quand vous pensez des phrases comme « je ne peux pas, je n’y arriverai pas », « oui mais ça ne marchera pas », « j’ai fait une crise, j’en ai marre de souffrir, je suis nulle »…votre cerveau focalise son attention sur ces choses qui ne vont pas. Plus vous pensez aux choses qui ne vont pas, plus vous allez les vivre régulièrement. Je vous invite à lire mon article pourquoi changer ses croyances pour guérir de la boulimie.

Peut-être avez-vous déjà remarqué que, quand vous pensez fort à quelque chose, vous ressentez et attirait cette chose. Par exemple, quand vous pensez « j’ai mal au ventre », généralement vous avez encore plus mal ou bien le mal ne diminue pas. Par contre, si vous faites d’autres choses et que vous ne pensez plus à votre mal de ventre, bizarrement vous avez moins ou plus du tout mal. C’est également le cas si je vous dis « ne pensez pas à un éléphant ». Qu’est-ce que vous faites? Et bien vous pensez à un éléphant. Le cerveau inconscient ne prend pas en compte les négations, il ne prend en compte que les mots les plus importants. Donc si vous pensez à votre souffrance, à votre vie difficile, à vos crises de boulimie, à votre peur de grossir… votre cerveau se dit en quelque sorte « tiens elle pense beaucoup à ça, c’est donc qu’elle aime ça. Je vais faire en sorte qu’elle continue à avoir ça ».

Nous avons la réalité que nous créons dans notre tête. Ca peut sembler surprenant pour certains d’entre vous. Mais je peux vous dire que ça fait toute la différence entre une personne heureuse et une personne malheureuse. C’est ce qui fait la subtilité de notre cerveau et de nos croyances. C’est scientifiquement prouvé.

Plus vous allez penser à votre mal-être, à vos souffrances et tout ce qui est négatif dans votre vie, plus vous allez continuer à vivre cela.

Pourquoi être positif vous aide à guérir de la boulimie ?

Comme je vous l’ai dit, lorsque vous pensez à des choses négatives de votre vie, vous continuez à vivre ces choses négatives ou des situations similaires qui vous apportent les mêmes ressentis négatifs. Au contraire, si vous attardez votre attention sur tout ce qui est positif dans votre vie et sur le côté positif de chaque situation que vous vivez, vous allez vous sentir beaucoup mieux. Tout d’abord parce que le fait de penser à des choses positives et agréables fait du bien. Mais aussi parce que vous allez continuer à vivre toujours plus de situations qui vont vous permettre de ressentir les mêmes émotions positives et agréables.

Lorsque j’étais boulimique, j’étais une personne à moitié positive, à moitié négative. Je focalisais beaucoup mon attention sur mes difficultés et mes souffrances. Je voyais aussi beaucoup le côté négatif de ma personnalité. Par exemple, je me sentais nulle, incapable d’arriver à ce que je voulais. Je détestais mon boulot et je passais mon temps à me plaindre de ce que je faisais. Avec le temps j’ai réussi à être un peu plus positive mais je restais souvent négative, surtout sur la boulimie. Par contre, j’étais convaincue, qu’un jour, je réussirais à guérir de la boulimie. Puis, quand j’ai commencé ma thérapie en hypnose, on a beaucoup travaillé sur mes croyances et sur ma confiance en moi. Et j’ai appris à être beaucoup plus positive sur moi-même. Par exemple, je commençais à me dire régulièrement que j’étais fière de moi, que j’étais une personne extraordinaire, que j’avais en fait une belle vie. Bien entendu, pour avoir une belle vie et des choses qui me convenaient, j’ai décidé de ne faire que des activités et des choses qui me permettaient de me sentir bien. Les choses qui ne me permettaient pas de me sentir bien dans ma vie, je les éliminais. Mais j’apprenais à voir ce que j’aimais dans ma vie et ce qui était positif à mes yeux.

De plus, dans les situations difficiles, j’arrêtais de focaliser mon attention sur ce qui était négatif. Au contraire, j’ai appris à me demander à chaque fois ce que je pouvais ressortir de positif de cette situation. Par exemple, lorsque j’ai perdu ma première chienne qui s’est faite heurtée par une voiture, je peux vous dire que cela a été très difficile pour moi car je la considérais comme une partie de moi. Mais, sur le moment, je ne pensais pas au fait que c’était difficile, que je ne la verrais plus, je ne m’en voulais pas de ne pas l’avoir surveillée à ce moment, je ne me disais pas que ma vie était foutue et que je n’arriverais pas à surmonter cela. Au contraire, dès les premiers instants de sa mort, j’ai ressenti, certes une terrible déchirure, mais j’étais aussi très heureuse. Pourquoi? Parce que je pensais à tout ce qu’elle m’avait apportée jusqu’à ce moment, je la caressais une dernière fois en me disant qu’elle était en train de me donner toute la force nécessaire pour me battre pour réussir encore plus ma vie. Je me disais que si elle était partie à ce moment, c’était probablement parce qu’elle n’avait plus rien à faire dans ma vie, qu’elle m’avait suffisamment aidée à me sentir mieux et que c’était le moment que je m’envole de mes propres ailes. Peu importe si tout ça est vrai ou pas. Le résultat est que j’ai réussi à faire la grande majorité de mon deuil en quelques jours et que je suis convaincue qu’elle m’a aidée à profiter encore plus de la vie et de chaque instant, comme si c’était le dernier. Je me suis également rapprochée de mes parents et de mon frère. Pour moi, la mort de ma chienne a été beaucoup plus positive que négative dans ma vie. Elle m’a permis de grandir.

De même, autrefois, je pensais que la boulimie était la pire chose de ma vie, je ne pensais que du négatif de cette maladie. Aujourd’hui, je considère que c’est le plus beau cadeau que j’ai pu obtenir dans ma vie. Je sais, vous allez penser que je suis folle. Mais quand vous êtes guéri, vous vous rendez compte à quelle point cette boulimie vous a permis de vous connaître et d’améliorer considérablement votre vie. Je n’ai jamais dit que les 8 ans de boulimie que j’ai vécu n’ont pas été difficile. J’ai vécu les mêmes souffrances que vous. J’ai déjà eu des pensées suicidaires. Donc oui je n’oublie pas à quel point c’est très difficile à vivre. Mais je sais qu’aujourd’hui, grâce à la boulimie, j’ai réussi à avoir une vie merveilleuse car elle m’a permis de prendre conscience de tout ce qui me faisait souffrir et subir ma vie en général. Je vous invite à lire l’article pourquoi me battre, pas contre la boulimie, mais avec elle, pour mieux comprendre ce que je veux dire par là. Et elle me permet aussi de vivre mon rêve depuis que je suis toute petite : celui d’aider des personnes en souffrance.

Bref, si je vous ai parlé de mon histoire, c’est pour vous montrer que, même dans les situations les plus difficiles, il y a toujours des côtés positifs. Et ce sont ces côtés positifs qu’il faut retenir avant tout.

Cela vous demandera peut-être un peu de pratique avant d’y arriver à chaque fois. Mais le jeu en vaut vraiment la chandelle.

Demandez-vous, dans chaque situation que vous vivez, même la plus difficile, quelles sont les avantages de cette situation. Même s’il y a du négatif, quels sont les aspects positifs? Par exemple, est-ce que cette situation vous a permis de vous rapprocher des gens que vous aimez, est-ce que cela a permis de faire éclater et résoudre des problèmes que tout le monde gardait pour soi? Est-ce que cela vous permet de repartir sur une nouvelle vie? Est-ce que cela vous permet de vous sentir mieux? D’avoir plus de temps libre, d’avoir plus d’argent…? Il est absolument impossible qu’il n’y ait pas d’aspect positif. Il y en a toujours.

Posez-vous également la question : en quoi cette situation me permet de grandir, d’avoir plus d’expérience, d’améliorer ma vie, mes compétences?

Vous pouvez le faire maintenant en pensant à une situation que vous avez déjà vécu et qui vous a fait souffrir ou que vous voyez de façon négative.

Au début, ce n’est pas très facile car vous n’aurez peut-être pas l’habitude. Mais avec de la pratique, cela deviendra un jeu d’enfant.

Deuxième exercice à faire : essayez pendant 3 jours, de ne dire que des mots positifs. Quand vous vous rendez compte que vous dites un mot négatif comme souffrir, mal, mauvais, triste, douleur ou des phrases négatives comme « je n’y arrive pas, je suis nulle, je suis incapable… », changez votre phrase en disant le contraire avec un mot positif. Par exemple, dites « je vais aller mieux bientôt, je peux m’améliorer, je ne me sens pas très joyeuse (si vous pouvez, trouvez une phrase encore plus positive). L’objectif est d’utiliser le plus positif de mots positifs et de pensées positives pour que vous finissiez par penser régulièrement positif. Après ces 3 jours, vous allez voir que vous allez commencer à prendre l’habitude de la faire et que ça deviendra plus naturel. Et par la suite, quand vous vous surprenez à penser de façon négative, faites en sorte de changer les mots et les phrases pour continuer à penser toujours de façon plus positive.

Vous pouvez également faire la séance hypnose et boulimie : croire en sa guérison, pour vous aider à mieux visualiser votre vie après la boulimie et voir les choses de façon positive.

En faisant tout cela, vous allez non seulement réussir plus facilement et plus rapidement à guérir de la boulimie, mais vous allez également avoir une vie beaucoup plus belle et beaucoup plus heureuse. Vous allez vous sentir bien plus heureux.

Pour continuer à guérir de la boulimie, vous pouvez vous inscrire pour recevoir le programme gratuit « les étapes clés de réussite pour guérir de la boulimie ». Vous y apprendrez les principales causes de la boulimie, comment commencer dès maintenant à les diminuer pour guérir de la boulimie, ainsi que mon histoire et comment j’ai réussi à guérir de la boulimie.

Je vous souhaite à tous de vivre la vie la plus merveilleuse possible et vous pouvez y arriver 🙂

Autres articles

Comment bien entretenir les cheveux ?

Irene

Boulimie |Comment j’ai géré ces émotions de Boulimie ?

Irene

Astuce pour supprimer la colère et guérir de la boulimie

Irene

Grossesse : vaincre l’insomnie à l’aide d’un attrape-rêve

Tamby

Pompes funèbres : l’ouverture à la concurrence n’a pas beaucoup profité aux familles

administrateur

4 choses à savoir sur l’achat de médicaments en ligne

Tamby