Les points essentiels du démembrement en SCPI
Par définition, le démembrement en SCPI consiste à partager une part SCPI en deux parties qui sont la nue-propriété et l’usufruit. Les deux parties disposent chacune de droits distincts et elles peuvent obtenir un certain nombre d’avantages. Cette démarche peut être temporaire, c’est-à-dire, régie par un contrat à durée déterminée, soit viager ou qui prend fin au décès de l’usufruit.
Le nu-propriétaire en SCPI
L’objectif principal du nu-propriétaire est de constituer un patrimoine foncier et des revenus complémentaires à la fin du contrat. Durant la période de validité du contrat, il ne perçoit aucun revenu et il ne paie ni charge ni impôt ni IFI.
Cette acquisition est fortement prisée par les investisseurs qui n’ont pas besoin de revenus complémentaires dans le court et moyen terme.
La nue-propriété d’une part en SCPI permet de diminuer les impôts issus des revenus immobiliers ainsi que ceux sur le patrimoine taxé en IFI. A terme du contrat, le nu-propriétaire récupère la totalité de la propriété en incluant l’usufruit. Acquérir la nue-propriété revient à espérer une meilleure plus-value sur sa part à la fin du contrat. N’hésitez pas à consulter https://demembrement-scpi.net si vous voulez obtenir plus d’informations.
L’usufruitier en SCPI
L’usufruitier a pour objectif de percevoir des revenus complémentaires pendant la durée du contrat. Cette part est donc fortement demandée par les contribuables qui ont besoin de revenus complémentaires dans le court terme ainsi que les sociétés qui souhaitent trouver un produit de trésorerie plus rentable que les produits de trésorerie bancaire classique.
L’usufruitier n’a pas à payer la totalité de la part en SCPI, mais seulement une partie. Pourtant, il va jouir de tous les bénéfices liés à l’utilisation du bien (loyer, rente, etc.). Quelle que soit la variation qui peut affecter le taux de rendement de la SCPI, le loyer perçu par l’usufruitier est inchangeable durant le contrat.