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Anorexie, boulimie : témoignage de Pauline

Voici le témoignage de Pauline, qui a été anorexique avant de devenir boulimique. Elle vous explique comment elle a vécu l’enfer dans son enfance et à quel point sa vie a changé, en partie grâce au programme gratuit « les étapes clés de réussite pour guérir de la boulimie ». Elle vous partage ses grands progrès, ainsi que ses difficultés dans lesquels vous vous reconnaîtrez peut-être.

C’est un peu par hasard que je me retrouve à écrire ce petit témoignage qui j’espère pourra nous aider à laisser tomber les idées négatives et aller de l’avant et vivre notre vie à FOND car on mérite vraiment tous d’être HEUREUX !

Je me suis inscrite au programme il y a finalement peu de temps. A vrai dire je ne sais même plus comment je suis arrivée sur ce site internet, en effet je venais de faire une crise et dans ces moments-là je perds absolument le contrôle de tout … Mon cerveau est déconnecté … Je fais des choses dont je ne me souviens pas toujours … effrayant

Au début, je ne savais pas vraiment quoi attendre de ce programme mais je me suis quand même lancée pour me donner une nouvelle CHANCE de guérir !!

Aujourd’hui j’ai 21 ans, j’ai commencé à souffrir de troubles du comportement alimentaire à 15 ans, sur le versant anorexie au début. J’étais un vrai squelette sur pattes. Ma mère était horrible avec moi et me disait que j’allais bientôt finir entre 4 murs si je continuais. Continuer quoi ? Ces pensées me donnent encore la chair de poule. Elle me répétait à longueur de journée que j’étais moche, que ce n’était pas la peine de salir une assiette à table si c’était pour manger 3 petits pois, etc. J’étais vraiment au plus bas. Inutile d’ajouter que tout ça a bien foutu ma vie d’adolescente en l’air … J’ai même fait un passage à l’hôpital qui m’a fait très peur … D’ailleurs pour couronner le tout, ce jour-là, ma mère m’a dit qu’elle m’avait vu mourir et que si jamais je devais de nouveau retourner à l’hôpital, je ne la verrais plus, je pouvais mourir toute seule … Venant de sa mère, je pense que ce sont les pires paroles qu’on puisse entendre … Au moment où j’écris ces mots, je sens encore les larmes monter …

Depuis 2 ans maintenant, tout a changé, je vis ces troubles du comportement alimentaire différemment, je suis sur le versant boulimie. Je ne sais pas vraiment expliquer comment je suis passée de l’un à l’autre, peu importe … L’ « avantage » de cela est que j’ai repris tout le poids que l’anorexie m’a fait perdre, les gens ne me font plus de commentaires sur mon poids mais parfois j’ai l’impression que cette vie est encore pire … Vue de l’extérieur j’ai l’air d’une fille souriante qui vit sa vie à fond mais je cache plutôt bien mon « jeu » …

Aujourd’hui je ne supporte vraiment plus cette vie. Tout est centré sur la nourriture. Soit je me goiffre, soit je me prive, même si la tendance est plutôt au gavage. A la différence de certaines d’entre nous, je ne suis pas « vomisseuse » alors je garde tout et les kilos s’accumulent … Heureusement qu’il y a le sport pour limiter les dégâts … Parfois j’ai l’impression d’être une grosse patapouf. J’ai une garde-robe avec toutes sortes de tailles. Des tenues adaptées à mon poids de forme, des tenues quand j’ai maigri, des tenues quand j’ai grossi … Ça devient vraiment n’importe quoi …

Mon poids fluctue vraiment comme un yo-yo, pas étonnant que je souffre encore de dysrégulation hormonale, mon corps n’y comprend rien … c’est comme si je me maltraitais moi-même.

Je ne supporte vraiment plus la sensation d’avoir le ventre qui va exploser et l’impossibilité de bouger après une crise … Dans ces situations là JE ME DETESTE

Je me demande pourquoi j’existe. J’ai envie de pleurer, de retourner en arrière, de m’endormir et de ne plus me réveiller dans cette vie de merde, de tout oublier

Avez-vous déjà pensé à une façon radicale d’en finir avec tout ça ? Moi dans les pires moments je n’ai pas honte à avouer que ma réponse est oui …

Après une crise, je suis incapable de faire du sport alors que moralement c’est ce qui me fait le plus de bien. Si je perds ma bouteille d’oxygène que me procure la course à pied, je me noie dans les enfers de la boulimie … catastrophe

C’est pour ça que j’ai décidé d’agir, de prendre ma vie en main et d’arrêter l’auto-destruction. Auto-destruction n’est pas forcément le terme adapté car ce n’est pas moi qui me détruit, c’est ce monstre qui s’est emparé de moi il y a quelques années … Je n’ai rien décidé, c’est un peu comme l’araignée dans Spiderman …

Par ailleurs, il est vrai que j’ai « toujours » été une fille très gourmande (sauf pendant la période anorexie) alors parfois j’ai du mal à faire la part des choses entre la gourmandise et la boulimie. Vous aussi ?

De plus j’ai toujours peur quand je n’ai pas faim car ça peut vite déclencher un drame familial, en effet la nourriture est vraiment un sujet tabou dans ma famille … Heureusement que je n’y suis pas tous les jours, le week end me suffit amplement !

Pendant longtemps j’ai cherché la cause de ces crises, j’ai vu plusieurs psychiatres qui m’encourageaient dans cette voie de recherche même si au début la seule chose qui les préoccupaient était mon IMC … Pour eux la solution paraissait simple : mange, tu grossiras et tout ira bien. Si c’était si simple, cela se saurait …  J’ai finalement abandonné le suivi psy car de toute façon, je n’étais pas comprise et personne n’apportait de réponses à mes questions. J’ai continuais mon chemin toute seule.

J’ai mis du temps à trouver la cause de mes problèmes. Je vous confie mon histoire, peut-être que ça vous aidera, du moins je l’espère. Ce n’est pas facile …

La racine du problème vient probablement d’un problème familial entre mes parents, ou plutôt un problème de couple. Cela fait bien longtemps que mes parents ne s’aiment plus vraiment, ils restent mariés car à « leur époque », le divorce n’était pas « à la mode ». Ils ont eu des enfants pour « ressouder » les liens … Je suis la première enfant de mes parents (si on ne mentionne pas leur première fille mort née). Nous sommes comme une sorte d’ « enfants espoirs » afin de maintenir leur union. Ainsi j’ai l’impression d’avoir grandi dans une atmosphère qui n’était pas assez riche en amour et c’est sans doute pour ça que j’ai du mal à m’aimer moi-même et à aimer les autres. Pourtant mes parents ont toujours été présents, d’ailleurs ils l’étaient même trop, jusqu’à nous étouffer avec leur protectionnisme … Je ne dis pas qu’ils ne nous aimaient pas, mon frère et moi, ce n’est pas vrai ! Mais je dirais plutôt qu’eux ne s’aimaient pas … Attention je ne veux pas leur jeter la pierre et leur dire voilà c’est de votre faute que votre fille est malade. Non il y a sûrement un concours de circonstances, j’ai sans doute quelque chose dans ma façon d’être qui fait que mon corps choisit cette manière d’expression. En aucun cas je les tiens coupable de quoi que ce soit. De toute façon ça ne servirait à rien de les blâmer, si ce n’est que de leur faire du mal et donc d’en faire à moi aussi en retour …

D’autre part ces problèmes de couple sont surtout dus à un mal-être dont souffre ma mère. Le problème est qu’elle refuse les soins que les psychiatres pourraient lui apporter. Alors parfois j’ai l’impression que les rôles sont inversés et que c’est moi qui devient la mère et elle l’enfant … Tout le monde souffre dans ma famille mais je suis la seule à « utiliser » les troubles du comportement alimentaire pour affronter cette situation. Quand mon cerveau est déconnecté et que je suis en crise, je ne peux pas penser à cela, aux idées noires comme celle de suicide prononcées par ma mère. Alors même si je sais que je regretterais la crise, que j’aurais mal au ventre, je cède …

Cependant depuis que j’ai trouvé la cause, ma vie n’a pas vraiment changé côté boulimie, pourtant on m’avait assuré qu’une fois que je saurais, je serais guérie, joli mensonge … C’est pour cela que je me suis dit que ce programme pouvait être une autre façon de voir la fin du tunnel

Je trouve cela constructif de partager les expériences des autres. Cela m’a permis de réaliser que je ne suis pas seule à vivre cet enfer. C’est aussi plus facile de se lancer dans la bataille contre la boulimie quand on sait qu’on a beaucoup d’alliés à nos côtés.

Quelque part ça me rassure de savoir que je ne suis pas la seule qui peut avaler des quantités de nourriture impressionnantes sans avoir faim, sans rien commander, juste sous l’emprise d’une simple pulsion

Je trouve le concept « 1 clé de la réussite par jour » intéressant.

C’est vrai que lors des premiers mails j’avais hâte de recevoir les suivants, maintenant c’est différent. Je préfère lire « à fond » un mail pour être sûre de « ne rien louper », désormais je trouve même que les jours passent trop vite !

En effet si on nous donne trop d’informations d’un coup, on n’arrive pas à tout capter. C’est aussi pour ça que je relis les conseils. A la deuxième, troisième lecture, on a parfois un regard différent et on comprend les choses autrement. D’ailleurs je pense peut-être me les imprimer pour les relire de temps en temps. Je vous conseille d’essayer cette méthode de relecture, ce n’est vraiment pas une perte de temps !

La première chose qui m’a bluffé en commençant le programme a été que je me reconnaissais dans certains passages des témoignages … C’était comme si c’était moi qui les avaient écrits. A ce moment-là j’ai véritablement réalisé qu’on partageait au moins en partie les mêmes expériences …

Secondairement, ce qui m’a attiré l’attention dans les conseils est le fait de voir le côté positif dans chaque situation, même pendant les crises … Par exemple le fait d’avoir beaucoup mangé peut permettre de passer sa journée à faire du sport sans se préoccuper de manger à nouveau. Pour moi qui suis une grande sportive, ce conseil m’a beaucoup intéressé … C’est vrai que vue sous cet angle, la crise perd son côté grotesque même si ce n’est pas une raison pour s’y prêter ! Par contre je trouve qu’il faut parfois être très courageux pour voir les côtés positifs de chaque situation. Par exemple pour voir l’échec de ses exams comme la signification que ses études ne nous correspondent pas et que c’est l’occasion de changer de voie professionnelle, il faut avoir du cran …

Ensuite il y a eu le mail sur le contrôle de la situation. On a tendance à vouloir absolument tout contrôler, à quoi bon ? Contrôler son poids, ses humeurs, ses envies … et si on laissait la vie, le destin s’occupaient de ça ? N’a-t-on rien de mieux à faire ? Et si on lâchait prise de temps en temps ? J’avoue que c’est facile à écrire mais qu’en pratique c’est autre chose ! Depuis toujours je suis quelqu’un de perfectionniste qui veut que tout soit parfait. Je fais partie de ces petites filles, enfants modèles, qui veulent briller aux yeux de tout le monde. On a l’air de la petite fille parfaite, on semble plaire à tout le monde. A tout le monde … vraiment ? Et à soi-même ? Au fond je ne sais pas. Suis-je une fille bien ? Cette question m’a fichu une énorme claque.

Un coup de tonnerre dans un ciel calme.

Puis un peu dans le même genre d’idée, il y a eu le conseil sur l’amour de soi. C’est vrai qu’au final, comment peut-on aimer les autres si on n’arrive même pas à s’aimer soi-même ? C’est vraiment très troublant de se poser cette question. J’ai ressenti un frisson parcourir tout mon corps …

Ce point-là risque de me prendre du temps … C’est vrai que côté sentiment, il y a toujours eu un hic. Je n’ai jamais réussi à aimer quelqu’un pour de vrai (j’entends par là avoir une histoire d’amour).

Peut-être que c’est parce que je n’exprime pas assez mes sentiments. En même temps, j’ai peur d’en faire trop … Je n’ai jamais réussi à dire « Je t’aime » à quelqu’un en le regardant dans les yeux … Suis-je trop nulle ? Encore une fois je me rabaisse … Il faudrait que je m’applique davantage aux exercices d’amour de soi qui sont mentionnés dans le programme.

Ou alors, ce problème d’expression des sentiments s’explique peut-être par le fait que je n’arrive pas à ressentir moi-même ces émotions ? Est-ce que je prends vraiment le temps d’écouter mon cœur ? Parfois j’ai l’impression que ce n’est plus mon cœur qui guide mes sentiments mais plutôt mon cerveau … Normalement en matière d’amour on ne réfléchit pas, on se laisse transporter par nos sentiments. Alors pourquoi moi je réfléchis avec mon cerveau pour savoir si cette personne-là est bien pour moi ? Je sais, je veux tout contrôler …

Finalement c’est un peu les mêmes choses qui se répètent, preuve qu’il y a du boulot à apporter …

J’ai l’impression que ce point me gêne vraiment, j’aimerai vivre une vraie histoire d’amour … Ce n’est pas faute d’en avoir envie, ni de tomber amoureuse … il faut que je me fasse confiance. La confiance en soi, une autre histoire … un long travail … mais qui en vaut la peine.

Comment les gens peuvent nous faire confiance si nous même nous ne faisons pas confiance ?

Je trouve aussi qu’en quelque sorte ce programme permet de nous aider à retirer toutes les « vilaines » petites aiguilles qui nous font souffrir. Imaginez chaque idée négative, chaque « point faible » (tel que le manque de confiance en soi) comme une aiguille, enlevez-là, sentez-vous ce soulagement ?

En découvrant et surtout en acceptant nos « points faibles », on peut essayer de les corriger ou de les voir d’un autre angle. Par exemple en admettant qu’on est trop perfectionniste, on peut essayer de changer un peu en lâchant prise …

Pour ce qui est de la vue des choses sous un autre angle, il faut par exemple apprendre à voir un verre à moitié plein, plutôt qu’un verre à moitié vide …

Ou encore il faut se dire qu’il n’y a pas de mauvaises choses, mais uniquement des choses bonnes et des moins bonnes …

Si comme moi, vous souffrez de boulimie, je vous conseille de vous donner la peine de suivre ce programme, votre vie vaut la peine d’être vécue !

Certaines personnes trouveront mon recul sur le programme trop court pour que mon témoignage puisse être fiable. Je leur répondrais qu’elles n’ont rien à perdre mais tout à gagner …

Il faut vraiment que la nourriture arrête de rythmer nos vies. La nourriture est vitale certes, on ne peut pas s’en passer, mais en aucun cas nous avons besoin de nous goinfrer ! Nos systèmes digestifs mis en rude épreuve pendant les crises nous remercieront mille fois de ne plus les torturer !

Apprenons à remplir le vide qui est parfois en nous avec des sentiments et non des aliments !!! Telle est ma nouvelle devise !

Nous vivrons vraiment une meilleure vie !

En tout honnêteté, je ne vous cacherais pas que ce programme ne va pas vous guérir en un claquement de doigt, Magalie vous le rappellera d’ailleurs dans ses premiers mails.  C’est aussi à vous de vous investir, d’essayer et de pratiquer les clés de la réussite. C’est un peu comme si Magalie nous donner les clés et que c’était à nous d’ouvrir les portes

La guérison sera lente mais ce n’est pas une raison pour se décourager. Rappelez-vous de l’histoire du lièvre et de la tortue, qui remporte la victoire au final ?

Le plus dur, c’est de se lancer, après il faut se laisser guider pour avancer.

C’est vrai qu’u moment où j’écris ces quelques mots, je ne suis pas guérie, loin de là. Mais j’arrive progressivement à réduire la fréquence et l’intensité des crises, ce qui n’est pas négligeable. Et chose encore plus importante, j’arrive à croire à la guérison, et y croire c’est une grosse partie du boulot …

D’autre part, il y a aussi des points du programme qui peuvent vous paraître étrange. Par exemple quand Magalie parle du problème de manque d’amour de soi, elle nous conseille un exercice qui consiste à se regarder dans le miroir et à se répéter plusieurs fois « je suis une fille formidable, je suis géniale ». Pour ma part je trouve cette attitude un peu égocentrique. La première fois que j’ai lue cela, j’ai failli arrêter le programme car je me suis dit que Magalie voyait la vie en rose. Je l’aurais eu en face de moi je lui aurais dit d’ouvrir sa porte pour voir la réalité du monde dans lequel nous vivons !

Mais bon après coup, je me suis dit que si ça avait marché pour elle, ça pouvait aider certaines d’entre nous, même si je ne m’incluais pas dans ces personnes. Au fond, même si on partage quelque chose de fort en commun, nous sommes toutes différentes, et nous devons chacune construire notre propre attirail.

Sinon je me permets aussi de vous donner quelques conseils personnels pour vous aider. C’est sûrement mon âme de futur médecin qui resurgit ! Comme quoi la boulimie peut toucher n’importe qui …

Avec les conseils de Magalie et nos expériences personnelles on devrait se créer une liste « anti-crises » avec un tas d’idées positives qui nous feraient renoncer aux crises.

Par exemple quand vous avez terriblement envie de dévaliser la boulangerie pour votre crise, pensez aux économies que vous pourriez faire … Placez l’argent que vous n’avez pas utilisé pour la crise dans vos loisirs par exemple ! Imaginez une tirelire anti-crises, vous pourriez devenir riche !

Dans le même genre d’idée, quand vous sentez une crise arriver, pensez au temps que vous perdez pendant la crise. Trouver autre chose de mieux à faire !!! Le temps est trop précieux pour être gâché ! Dans mes études je dois apprendre à calculer en termes de temps. Mieux vaut garder du temps pour souffler un peu après le boulot en loisirs, sport, sorties plutôt que d’être toute seule dans son appartement à se transformer en ogre …

Voilà je commence à rédiger cette liste, à vous de continuer.

Ne pas perdre de l’argent

Ne pas perdre de temps

Passer ce temps gagné en loisirs

Manger « normalement » avec son ventre et partager ce moment avec nos proches

Ne pas se sentir mal sur le plan digestif et moral

Pouvoir faire du sport sans avoir l’impression d’être une grosse patate

Garder son poids stable

Et puis si jamais vous venez de craquer, car ça arrive, pensez à des idées positives qui vous feront relever la tête.

Si vous êtes maman, pensez à vos enfants qui méritent d’avoir une maman géniale et disponible.

Si vous avez un métier qui vous passionne, accrochez-vous y.

Gardez aussi en tête des petits slogans et expressions tels que :

« Ecrire des mots pour combattre les maux »

« Yes we can »

« Quand on veut, on peut »

« Parce qu’il faut toujours y croire »

« Tous ensemble, tous »

« Tout est possible, tout est réalisable »

« Le courage sera ma force »

« Soyez tolérants, le combat que j’ai à mener est loin d’être facile »

« Parce que l’espoir fait vivre »

« Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort »

« Le mot impossible ne fait pas parti de mon vocabulaire »

« Parfois il faut accepter un petit mal pour un grand bien »

« Parce que le changement c’est maintenant »… J’espère que j’ai réussi à vous donner envie de guérir, de venir à mes côtés sur le front de bataille. Maintenant à vous de jouer, vous savez ce qu’il vous reste à faire …

Si vous aussi, vous souhaitez sortir de la boulimie et vous sentir beaucoup mieux dans votre vie, n’hésitez pas à vous inscrire au programme gratuit « les étapes clés de réussite pour guérir de la boulimie ». Dans ce programme, vous découvrirez les principales raisons de la boulimie et ainsi que des conseils et des exercices pour commencer à guérir et à vous sentir mieux. Je vous raconte également mon histoire et comment j’ai réussi à sortir de la boulimie.

Autres témoignages sur le programme :

Témoignage de Gabrielle, qui commence vraiment à guérir de la boulimie

Témoignage de Solange, dont la guérison de la boulimie lui a changé sa vie

Témoignage de Marie-Line, qui progresse énormément après 30 ans de boulimie

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