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Peut-on arrêter ses SOUFFRANCES quand on est BOULIMIQUE ?

La boulimie est très souvent associée à la dépression. Est-ce que vous avez l’impression de vivre aussi de grandes souffrances avec vos crises de boulimie ou dans votre vie en général ? Mais vous avez le sentiment que ça ne va jamais en finir ? Vous subissez vos souffrances ? Dans cette vidéo, je réponds à cette question.

Les personnes boulimiques vivent tous des souffrances (plus ou moins fortes)

Dans cette vidéo, je voudrais aborder la question : peut-on changer ses souffrances. Parce que je sais qu’il y a beaucoup de personnes qui sont boulimiques et qui vivent des souffrances, plus ou moins difficiles. Il y en a qui vivent une vie à peu près bien, et qui ont l’impression de ne pas avoir forcément de difficultés dans leur vie. Après, elles sont boulimiques, donc c’est qu’il y a quand même des difficultés, mais ce n’est pas flagrant. Et après, il y a des personnes qui vivent des situations où là, leur vie est vraiment difficile. Ca peut être que certaines personnes ont perdu leurs parents, ou des difficultés dans leur famille, beaucoup de remue-ménage, beaucoup de colère dans leur famille, des personnes qui ne se sentent pas bien chez elles, qui ont des souffrances, qui subissent les critiques des gens. Voilà des souffrances par rapport à leur environnement.

Donc voilà, il y a diverses personnes. Après, tout le monde vit des souffrances. Ce n’est pas parce que la personne qui est boulimique, qui a globalement une vie où elles a tout pour être heureuse, ne va pas vivre des souffrance. Parce que sinon elle ne serait pas boulimique. Donc tout le monde vit des souffrances. Après il y en a qui sont plus ou moins visibles et il y en a qui sont plus ou moins fortes. Il y a aussi des personnes boulimiques qui ont une crise de boulimie de temps en temps et qui vivent à peu près bien dans leur vie. Et après, il y en a d’autres qui en font plusieurs par jour, ou alors, quand elles font des crises, c’est très difficile pour ces personnes. Elles ont beaucoup de mal à l’accepter et ça créé beaucoup de souffrances.

Bref, il y a plusieurs types de souffrances. Dans cette vidéo, je voulais vous dire que les souffrances que vous vivez aujourd’hui, ce sont des souffrances qui peuvent partir. Vous n’allez pas vivre ces souffrances toute votre vie. Elles peuvent très bien partir, c’est possible. C’est possible de ne plus vivre ces souffrances que vous vivez.

Comment arrêter ces souffrances quand on est boulimique ?

Après, comment ? Justement, il faut faire des changements. C’est-à-dire que, si vous vivez des souffrances, mais que vous ne faites rien pour changer les choses, il y a de fortes chances pour que vous continuez à vivre ces souffrances.

Par exemple, par rapport à la boulimie, si vous vivez la boulimie, que ça vous fait souffrir, et que vous ne faites rien pour changer. Par exemple que vous ne suivez personne, vous ne suivez pas de thérapeute, vous n’appliquez pas les conseils que je donne sur mon blog. Parce que je donne beaucoup de conseils, mais il y a des gens qui n’appliquent pas. J’ai eu beaucoup de retours par rapport à mon programme gratuit « les étapes clés de réussite pour guérir de la boulimie ». D’ailleurs vous pouvez vous inscrire en cliquant sur le lien juste en-dessous. Il y a des personnes qui suivent mon programme, qui me disent « oui, c’est super, je comprends mieux, mais je n’ai pas appliqué les exercices ». Et après, elles me disent « non je n’ai pas vu de résultats ». Je ne suis pas surprise.

Parce qu’il y a un moment où il faut passer à l’action, il faut changer. Si vous souffrez de boulimie, mais que vous ne faites rien pour changer, vous allez rester boulimique. Evidemment. Il y a des personnes qui vont être boulimiques toute leur vie parce qu’elles n’ont pas fait les changements nécessaires pour y arriver. Parfois, il y en a qui vont bien avancer, mais qui ne vont pas complètement guérir parce qu’il manque encore des choses à faire.

Donc c’est possible de guérir de la boulimie, si on prend cet exemple-là. C’est possible. Mais il faut faire les choses jusqu’au bout, il faut agir, il faut faire les changements, même si c’est dur. Je ne vous garantis pas que c’est facile. Moi, quand j’ai guéri, je peux vous dire qu’il y a eu des moments où c’était difficile. Parce que, quand on change les choses, c’est fatiguant. Parce que ça prend beaucoup d’énergie de changer sa vie, de changer ses difficultés, de prendre conscience de ce qui ne va pas, ça demande beaucoup d’énergie. Donc ce n’est pas toujours facile, mais c’est nécessaire pour pouvoir changer. Donc vous pouvez guérir. C’est certain, c’est sûr à 200%. Mais, après, tout dépend de si vous faites les choses pour changer. Après, des fois, vous n’êtes pas forcément prêt à changer. Des fois, ça peut mettre un peu de temps, il y a des moments où c’est dur, donc vous allez laisser un peu de temps pour souffler, comme je vous l’ai dit, ce n’est pas facile de changer. Mais le plus important est que vous continuez, que vous avanciez, que vous continuez par la suite, même si vous faites un petit break pendant quelques temps, mais après vous vous remettrez dans la guérison. Voilà, vous faites les changements. Et, au fur et à mesure, votre vie va changer.

Comment j’ai changé mes souffrances quand j’étais boulimique ?

Moi, ma guérison, donc j’ai été boulimique pendant 8 ans, je n’ai pas rien fait en 8 ans et, du jour au lendemain, paf, plus de boulimie. Non ! J’ai fait des choses au fur et à mesure. Bon j’ai suivi des psychologues et psychiatres au début. Bon après, pour moi, ça ne m’a pas beaucoup permis d’avancer. Mais ça m’a quand même permis de prendre conscience de certaines choses. Mais, après, j’ai lu des bouquins, j’ai regardé des tonnes de choses sur internet. Même si ce n’est pas facile de trouver. C’est pour ça que j’ai créé ce blog, c’est pour vous donner rapidement des conseils pour pouvoir changer. Parce que j’ai eu du mal à trouver sur internet. Mais, voilà, j’ai essayé de chercher, j’ai fait des expériences aussi. Quand je lisais des conseils à appliquer pour mieux manger, pour manger plus librement, pour augmenter ma confiance en moi… J’ai fait les changements, j’ai fait des tests. Je me suis dis « je vais oser faire ça », « pendant quelques jours, je vais manger sans culpabiliser ». J’ai fait des changements. Et ces changements m’ont permis d’avancer. Après, il y en a qui m’ont permis d’avancer plus que d’autres.

Mais, quoiqu’il arrive, tout ce que j’ai fait pour changer, tout ce que j’ai appliqué m’a permis d’avancer, d’avancer dans la bonne direction. Même si, des fois, je me trompais de chemin. Mais si je n’avais jamais osé, je serais restée au point de départ. Alors que j’ai osé. Bon des fois, je me prenais un mur, dans le sens que ce n’était pas dans la bonne direction, et je changeais de chemin. Et progressivement, au bout d’un moment, je suis arrivée dans la bonne direction et finalement j’ai trouvé la sortie du tunnel.

Donc, pendant 8 ans, enfin peut-être pas au tout début parce que je n’avais pas trop conscience de comment faire, de la maladie… Mais, pendant plusieurs années, j’ai fait des choses pour changer. Après, il y a des moments où je ne faisais pas grand chose. Mais j’ai fait des changements, ça a bougé, beaucoup de choses ont bougé, et au bout d’un moment, j’ai fini par guérir complètement. Je ne me suis pas dis du jour au lendemain, je veux guérir maintenant. J’ai fait beaucoup d’actions qui m’ont permis de guérir, qui m’ont permis d’avancer et après, j’ai guéri parce que je n’ai plus eu besoin de la boulimie, je n’ai plus eu besoin des crises. Parce que j’avais une vie qui était suffisamment bien et j’arrivais à trouver d’autres solutions pour régler mes problèmes que les crises. Donc, pour la boulimie, c’est le cas.

Après, pour les autres souffrances dans votre vie, que ce soit au niveau familial, au niveau amoureux, professionnel… Tous les problèmes que vous rencontrez, les souffrances que vous rencontrez, vous pouvez les changer. Après forcément, si vous ne faites rien pour changer, ça ne va rien changer. Je vais vous donner encore mon exemple. Je n’ai pas été beaucoup employée, salariée, parce que je l’avais fait dans le cadre de mon alternance. Je l’ai fait pendant 2 ans, et pour moi, ça a été très difficile. Enfin, moi personnellement, je savais que je n’étais pas faite pour être salariée, assise dans un bureau, devant un ordi, en tant que salarié, avec des horaires…ce n’était pas moi. C’était tout l’opposé de ce que j’étais, de ma personnalité. Du coup, je l’ai très mal vécu, ça a été deux ans où j’ai très mal vécu. Des fois, je m’ennuyais, parce que je n’avais pas tant de choses à faire que ça.

Je sais que j’avais pris un cheval en demi-pension. Au début, je le montais beaucoup justement pour me changer les idées. Mais après, je ne le montais plus mon cheval. Parce que ma journée de travail était tellement dure, psychologiquement je n’étais pas bien. Et j’avais juste envie de rentrer et d’aller me coucher ou de faire des crises. Il y avait des périodes où je n’arrivais pas à dormir. En plus, à un moment, j’ai eu des difficultés au niveau amoureux, parce que j’avais une relation qui me faisait beaucoup souffrir, j’étais avec une personne qui me faisait beaucoup de souffrances, je savais qu’il me trompait… Ce sont des choses très difficiles psychologiquement. J’ai eu tout un ensemble qui faisait que, des fois, je n’arrivais pas à dormir. Et puis, après, le fait de ne pas dormir faisait que je faisais plus de crises. Parce que j’étais fatiguée, parce que j’étais très très mal. Il y avait des périodes où j’étais très très mal.

Entre autres. Il y a eu des périodes, quand j’étais en prépa. Aujourd’hui, j’ai des musiques que j’entendais à l’époque, que j’ai encore du mal à entendre parce que ça me met tellement dans cette émotion dans laquelle j’étais. Parce qu’en fait, à l’époque je me disais en gros, je n’ai pas vraiment pensé au suicide, « si ma vie devait être tout le temps comme ce que je vivais en prépa, ça ne sert à rien que je vive ». J’étais tellement dans une souffrance, c’était très difficile parce que je devais bosser au maximum et j’avais du mal, parce qu’il y avait la maladie aussi qui me bloquait. C’était un cercle vicieux. Il y avait des semaines où, quand je rentrais, il y avait des cafards dedans je rentrais et je ne me sentais pas bien. C’était petit, j’étais toute seule. Il n’y avait qu’une personne à qui je parlais et cette personne me comprenait difficilement. Donc en fait, je me sentais seule. J’avais du mal à être proche de mes parents aussi. Et là, j’ai enchaîné les crises, j’étais vraiment dans une souffrance, je l’ai très très mal vécu.

Mais ces choses ont changé, j’ai tout fait pour changer. Notamment, pour l’appartement, bon je l’ai fait avec l’aide de mes parents. Mais j’ai déménagé, je suis allée chez quelqu’un où j’ai pu déjà me sentir mieux, je ne suis pas restée dans cet appartement-là. Après, mes parents voulaient que j’arrête la prépa, mais je voulais aller jusqu’au bout. Parce que je me disais que j’avais commencé, qu’il était hors de question que j’arrête, que j’allais aller jusqu’au bout. Après, ça n’a pas été facile, mais je suis allée jusqu’au bout. Il y a aussi, quand je vous ai dit que je n’étais pas bien au travail, qu’est-ce que j’ai fait ? Une fois que j’ai eu mon diplôme, que j’ai eu mon alternance, je me suis dit qu’il était hors de question que je refasse ça. Donc j’ai changé, je me suis dis « je me réoriente ». Je me suis dis que je ne voulais pas être toute ma vie déprimée, dépressive. Il y avait des périodes où j’allais plus ou moins mieux, plus ou moins bien. Mais il y a eu des périodes très difficiles. Combien de fois j’ai failli arrêter, puis j’ai tenu bon parce que je voulais avoir mon diplôme. Mais j’aurais pu très bien arrêter avant, mais sur le moment j’en étais pas encore capable. Mais, dès que j’ai eu mon diplôme, je me suis dis « je change de voie, je me réoriente, je trouve autre choses ». Du coup, j’ai essayé plein de petits boulots, de petits trucs.

Mais j’ai osé changer, j’ai osé changer les choses. Je me suis dis « cette souffrance, je n’en veux plus, je ne veux plus vivre cette souffrance. Donc qu’est-ce que je fais pour ne plus vivre cette souffrance ? ». Et dans le cadre du travail, je me suis dis « plus de salariat, dans un bureau… ». Mais même, je m’étais rendue compte que je n’étais pas faite pour ça. Je n’avais pas envie d’être salariée toute ma vie, à faire les mêmes choses. Ca ne me correspond pas. Ca correspond à des gens, mais pas à moi. Et je ne me voyais pas toute ma vie à être comme ça. Et peut-être que, si je n’avais pas fait tous ces changements, je serais encore boulimique. Parce que je vivais tellement un mal-être. A un moment, l’environnement est important pour guérir aussi. Parce que, si vous êtes bien, que vous augmentez votre confiance en vous, qu’avec votre alimentation vous avez un meilleur rapport, mais que vous n’êtes pas bien dans votre environnement, dans votre boulot, dans votre relation amoureuse…ça va être difficile de guérir.

Supprimez vous souffrances pour guérir de la boulimie 

Donc c’est important de pouvoir changer ce qui ne va pas. Après, ce n’est pas toujours facile parce qu’il y a des situations dans lesquelles vous pouvez vivre beaucoup de souffrance et que vous êtes peut-être bloqué. Mais quoiqu’il arrive, des fois ça peut mettre un petit peu de temps, mais trouvez des solutions. Vous pouvez changer des choses. Vous n’êtes pas condamné toute votre vie à vivre ces souffrances. C’est vraiment important d’arrêter de aubier sa vie. Si vous voulez guérir, si vous voulez arrêter vos souffrances, si vous voulez être heureux, si votre objectif est vraiment d’être heureux, et si vous voulez arrêter toutes vos souffrances, il va falloir que vous décidiez de ne plus subir votre vie, mais d’agir, d’être acteur de votre vie, de faire les changements nécessaires pour guérir. Pour guérir et vous sentir mieux.

Mais si vous vous dites « je suis condamnée à faire ça, je suis condamnée à être boulimique toute ma vie, je ne vais pas y arriver, je n’ai pas le choix, je ne peux pas, je ne peux pas changer, je n’ai pas le choix… ». Ca, c’est vos croyances à vous. On a toujours le choix. Après, des fois, ça peut mettre du temps. Parce que parfois, on ne peut pas faire des choses tout de suite, donc des fois, il faut accepter. Mais l’objectif, c’est que vous n’acceptiez pas indéfiniment. C’est que vous acceptez peut-être provisoirement, le temps de trouver une autre solution pour changer.

Mais changez les choses.Si vous voulez être heureux et guérir, changez ! Changez ce qui ne va pas, arrêtez de subir votre vie. On n’est pas là pour subir. On n’est pas là pour accepter d’être malheureux, de souffrir. Donc changez, vraiment ! Essayez de trouver des solutions. Si vous voyez qu’il y a quelque chose qui ne va pas, dites-vous « ok, mais qu’est-ce que je peux faire maintenant, pour que cette souffrance diminue », pour changer ce qui ne va pas.

Par exemple, si vous n’êtes pas bien dans votre famille ou dans votre relation amoureuse, qu’est-ce que vous pouvez faire pour que ce soit différent et pour que vous vous sentiez mieux ? Est-ce que peut-être déménager ? Peut-être qu’il y a des non-dites, dans votre famille ou dans votre relation amoureuse qui font qu’il y a plein de problèmes de communication, et du coup vous souffrez, mais vous n’osez pas en parler… Peut-être que ça serait d’en parler, de prendre le temps de parler avec la personne. Après, je vous dis, ce n’est pas toujours facile. Mais il faut essayer de trouver des solutions, d’oser. Parfois on n’ose pas changer, parce qu’on a peur de ce qui va se passer. Mais des fois, on se rend compte, qu’au final, il vaut mieux ne pas parler, qu’il vaut mieux se taire… Et le jour où on décide d’en parler, on se rend compte que c’est carrément mieux, qu’on aurait du le faire avant. Parce que des fois on a peur que ce soit pire. Mais en fait, ça ne peut pas être pire, ce n’est pas possible. Dans tous les cas, si vous vous sentez encore moins bien, vous pouvez trouver d’autres trucs, et au bout d’un moment, vous allez trouver des solutions pour vous sentir mieux, de mieux en mieux. Ce n’est pas forcément la première solution, mais ça peut être une autre solution.

Mais, quoiqu’il arrive, le seul moyen que vous vous restiez dans les souffrances, que vous restiez boulimique…c’est de rien faire. Si vous faites rien, c’est bon. Mais vous allez rester dans votre mal-être. Mais, si vous changer, si vous voulez ne plus vivre ces souffrances, ne plus être boulimique… il va falloir faire les changements nécessaires.

Pour répondre à la question : peut-on arrêter ses souffrances ? Ben oui, vous pouvez. Mais ça ne part pas tout seul. Maintenant, c’est à vous de faire les changements, d’agir, d’être acteur de votre vie, de décider que maintenant, ça allait être différent. C’est vraiment important. Je vous dis, maintenant que j’ai compris ça, dès qu’il y a un truc qui ne va pas, je trouve des solutions pour que ce soit différent. Parce que, par exemple, il n’y a pas longtemps, en ce moment, j’ai eu des situations qui sont difficiles, qui font que je ne me sens pas bien, par rapport à ce que je vis. Mais je ne fais pas rien. Je choisis, j’ai décidé de faire des changements qui, certes ne sont pas faciles, mais je les ai fait parce que je savais que ça ne pourrait être que mieux, que je ne pourrais aller que dans la bonne direction.

Donc j’ai osé faire des choses, et ça m’a permis de me sentir beaucoup mieux. Après, je sais que ça va aller de mieux en mieux. Mais on peut changer. Vraiment je vous dis, faites les changements, agissez, regardez mon blog, par rapport à la boulimie et par rapport à vos difficultés dans votre vie. Suivez les conseils de mon blog, appliquez, appliquez les exercices. Ca ne sert à rien de lire tout le blog, de lire tout, et de ne rien faire. C’est bien parce que vous avez conscience, vous comprenez mieux et vous allez peut-être moins culpabiliser… Mais il y a un moment où c’est important de faire les changements. Si je vous donne des conseils pour augmenter votre confiance en vous et que vous n’appliquez pas, vous ne faites rien, ça ne va rien changer, vous allez avoir toujours peu confiance en vous.

Mais je sais de quoi je parle sur mon blog, je sais très bien que ça marche, que ça apporte vraiment des résultats. Alors si vous voulez avoir des résultats et aller dans la bonne direction pour améliorer votre vie et guérir, suivez mes conseils. Suivez d’autres conseils aussi. Il y a d’autres conseils sur d’autres blogs aussi sur la confiance en soi ou d’autres choses. Mais voilà, j’essaie de mettre un maximum de choses sur mon blog pour vous aider. Mais après je ne peux pas faire le travail à votre place. Ce n’est pas une baguette magique et je vous dis « voilà, vous allez guérir ».

Non, il y a un moment où c’est à vous de vous prendre ne main et de changer. Même si ce n’est pas facile. Mais ce sont les seules solutions pour y arriver.

J’espère que ça ne vous a pas trop remuer cette vidéo, je sais que ce n’est pas facile, parfois c’est dur. Mais faites-moi confiance, je sais de quoi je parle. Et je sais très bien que c’est un des grands secrets pour guérir, c’est de faire les changements nécessaires.

Voilà, j’espère que ça va vraiment vous aider à vous booster. N’hésitez pas à télécharger mon programme gratuit « les étapes clés de réussite pour guérir de la boulimie », en cliquant sur le lien juste en-dessous. Dans ce programme, je vous explique les principales raisons de la boulimie, je vous donne des conseils et des exercices à appliquer. Donc je vous demande de les appliquer. Et je vous raconter aussi mon histoire et comment j’ai réussi à guérir. Il suffit de vous inscrire sur le lien juste en-dessous, d’inscrire votre prénom et votre email. Et moi, pendant plusieurs jours, je vous envoie un mail par jour, où j’explique une notion par une notion. Et c’est aussi pour ça que je vous le donne en plusieurs jours. Parce que si je vous donne tout d’un coup, vous allez tout lire et après, vous n’allez rien faire. Alors qu’en vous donnant une notion chaque jour, vous allez pouvoir changer chaque jour des petites choses. J’aurais pu mettre plus d’espaces entre les mails, mais j’ai quand même voulu vous donner plus rapidement toutes les notions. Mais voilà, c’est vraiment important que vous puissiez faire les changements, d’agir.

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