Les différentes notions de la convention collective de sécurité
Convention collective Sécurité
La convention collective de sécurité représente une loi applicable dans les entreprises qui travaillent principalement dans la fourniture de services de sécurité des biens, des meubles, des immeubles et des personnes. Elle prend en compte de diverses notions et possède un grand champ d’application. Pour mieux la comprendre, nous vous donnons dans cet article toutes les informations utiles.
Que devez-vous savoir sur convention collective Sécurité
Une convention collective de sécurité est un accord signé entre une organisation professionnelle d’employeurs et un syndicat de salariés. Avec cet article, les responsables s’engagent à payer des salaires minimums aux travailleurs et à garantir des conditions de travail convenables. Cette convention prend aussi en compte les différentes règles qui régissent la démission, le remboursement de frais de santé, la protection sociale des salariés, etc. Selon les règles de base, c’est l’employeur qui se charge de choisir pour tous ses salariés, la convention la plus pertinente en fonction de l’activité de la société. De même, si par exemple le code de travail ne prévoit pas de disposition particulière comme pour le cas de la rentrée scolaire, la convention collective de sécurité peut s’appliquer et donner droit à des jours de congé supplémentaires.
En résumé, la convention collective de sécurité concerne les entreprises qui interviennent dans la sécurité et la protection. Il s’agit des sociétés qui fournissent des gardes du corps, des agents de sécurité, des gardiens de jour ou de nuit, des consultants en sécurité, etc.
Autres informations utiles sur convention collective Sécurité
Tous les employés soumis à une convention collective de sécurité bénéficient d’une grille précise pour les salaires. En règle générale, leur rémunération minimale doit être au moins égale à deux montants à savoir : le SMIC (fixé au niveau national) et le salaire minimum (fixé dans la convention collective sécurité). En cas de rupture de contrat par une démission, la convention prévoit un préavis de 3 mois. Mais dans le cas d’un licenciement, voici les règles applicables selon l’ancienneté :
- Pour un salarié de moins de 6 mois : préavis fixé par la convention ;
- Entre 6 mois et 2 ans : préavis d’un mois ;
- Au moins 2 ans : préavis de deux mois ou mieux.